dimanche 26 février 2012

MANEKI-NEKO, ou LE CHAT QUI INVITE.

招き猫

J'aime ces petites statuettes japonnaises du chat qui salue!
Le chat qui invite, porte bonheur pour que l'argent rentre.
J'en ai un à la maison, en céramique peinte, acheté à Tokyo il y a quelques années. Je le trouve joli, coquin, sympathique. J'aime le toucher, il est agréable, doux, sensuel.


Jolies, également, les légendes sur l'origine des Maneki-Neko (selon Wikipédia):


  • Le chat du temple : Un groupe de samouraïs (ou dans certaines versions, un seigneur féodal) passait devant un temple sur le parvis duquel se prélassait un chat. Alors que les samouraïs s'arrêtaient pour regarder le chat, ce dernier, assis sur son séant, les « salua » en levant sa patte à son oreille. Intrigués, les samouraïs s'approchèrent du chat. C'est alors que la foudre tomba exactement là où ils se seraient tenus s'ils n'avaient dévié leur route pour répondre au salut du chat. Très reconnaissants, ils firent des dons au temple une fois devenus riches.
  • La courtisane : Une courtisane nommée Usugumo, qui vivait à Yoshiwara  à l'est de Tokyo, avait un chat qu'elle aimait beaucoup. Une nuit, le chat commença à tirer sur son kimono. Quoi qu'elle fasse, il continuait. En voyant cela, le propriétaire de la maison close crut que le chat était ensorcelé et le décapita. La tête du chat vola vers le plafond et écrasa un serpent qui s'y trouvait, prêt à frapper à tout moment. Usugumo était effondrée par la mort de son chat, et pour la consoler, un client lui fit faire une statue de bois de son compagnon. Cette statue fut le premier maneki-neko.
  • La vieille femme : Une vieille femme qui vivait à Imado à l'est de Tokyo fut obligée de vendre son chat pour survivre. Très rapidement, son chat lui apparut en rêve. Il lui dit de faire sa statue en argile. Elle obéit, et vendit ensuite la statue. Par la suite, elle en fit d'autres, et les gens les achetèrent. Les statues devinrent si populaires que la vieille femme devint riche grâce à elles.

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